C’est sur un reportage effectué par le site litige.fr que l’on a pu tirer toutes les informations énumérées sur cet article à propos des tendances des affaires juridiques au travail.
Le problème de salaires impayés
Selon les enquêtes élaborées par l’équipe du litige et du Prud’homme en France, ce cas est recensé à 44 % sur les demandes reçues. Le problème vient souvent de l’employeur qui n’a pas su payer son employé à temps. Dans le code de travail français, cette obligation de l’employeur à payer son personnel mensuellement est mentionnée dans l’article L. 3242-1. Pour les travailleurs temporaires, il y a une convention signée, donc si l’employé n’a pas signé de contrat, il n’est pas obligé de faire le travail.
Un problème de licenciement abusif
Cette situation est constatée sur les 26 % de cas. Normalement, il n’y a pas de licenciement sans motifs exacts et précis ou sérieux. La cause doit être objective et défendable par une avocate du droit du travail devant le tribunal. S’il y a un litige entre le patron et son employé à cause de ce licenciement, l’affaire reste au niveau du Prud’homme et qui peut prendre deux années. L’indemnité ne sera reçue par l’employé qu’après la déclaration du verdict et le tribunal donne encore du temps à l’employeur pour réunir la somme.
Une sanction suite au non-respect de la discipline au travail
Cette discipline est également citée dans le contrat de travail. Et si un ou un groupe d’employés a commis une faute grave, l’employeur a le droit de sanctionner immédiatement cet individu. La sanction imposée par le patron doit rester au niveau physique et non financier. Le harcèlement sexuel peut-être une cause de sanction, même s’il est effectué par le patron lui-même, l’employé victime peut demander justice auprès des hommes de la loi.
Cette forme de harcèlement a été longtemps le problème des femmes surtout au milieu du travail, et pourtant, seulement 5 % des cas sont détectés dans les demandes d’assistance juridique du travail. Les femmes ont juste peur de recourir à la justice
